It is time to rethink the method of allocation of aid to Africa. By my humble opinion, until now the approach used by financial funds, has proved ineffective. Yes inefficient and unnecessary. When you hear that some institution granted such financial aid to any African country in a specific area (e.g. education, health etc.) we learn thereafter there was misuse or mismanagement of these funds by African leaders.
It is therefore clear that, using notes and coins, does not solve the problems. Africans, living in Africa, who need these things, are forced to look elsewhere in other continents because it is not in our home. This need is much more evident in two sensitive and important areas that are education and health.
What is it?
In concrete and practical, we must build large schools, universities, prestigious professional institutes in African countries more or less poor. Then assign Western teachers to provide instruction in these schools so that national students receive the same lessons, training, experiences, that those who go to study in Europe or the USA get. Thus, a large majority of African populations have access to art training locally in their countries and at lower cost. In return, they can serve their nation directly, without the question “return or no return” after graduation because they are already
home, in their country.
Instead of offering scholarships to a handful of the most lucky students, a supply system that is also regrettable because too selective, hence, reducing or destroying the hopes of many young people wishing to continue their studies. Instead of these shortcomings and insignificant scholarship, why not broaden the scope and allow the people to learn? Hence the idea, utility or
the urgency to open large opportunities in Africa.
On the other hand, health. Again the finding is negative. Hospitals in the black Africa, especially in the so-called “pretty” PPTE (poor heavily indebted), the situation is miserable. Lack of specialists for all pathologies, lack of medical infrastructure. Either the equipment is obsolete and old, or it is simply non-existent. For any surgery, you must take the patient to the West. We want hospitals just as the “white” have with the best medical specialists aware of their true missions and medical equipment.
In short, Africa needs to be built, constructed, developed. Giving money to corrupt African leaders, is not the best solution.
We want to work for real, tangible, concrete things. For many Africa must give more but let’s make. So, anyone who cares for the well-being, the future of this beautiful continent full of wealth of its men, help us to better develop Africa.
Djaratou Aoudou
Original French text
Il est grand temps de repenser la méthode d’octroi de l’aide à l’Afrique. A mon humble avis, jusqu’à présent la démarche appliquée par les bailleurs de fonds, s’est revélée inefficace. Oui inefficace et inutile. Puisque chaque
fois qu’on entend qu’on a accordé telle aide financière à un pays africian donné, dans un domaine précis ( exemple : éducation, santé etc) on apprend par la suite qu’il ya eu détournement ou mauvaise gestion de ces fonds par des responsables africains.
Force est donc de constater que, l’aide en espèces sonnantes et trébuchantes ne résoud pas les problèmes. Nous africains vivant en Afrique avons besoin de ces choses, que nous sommes obligés d’aller chercher ailleurs dans
d’autres continents, parce qu’il y’en a pas chez nous. Ce besoin se manifeste beaucoup plus dans 2 domaines sensibles et importants que sont l’éducation et la santé.
De quoi s’agit-il ?
De façon concrète et pratique, il faut construire des grandes écoles de formation, des universités, des prestigieux instituts professionnels, dans les pays africains les plus ou moins pauvres. Ensuite, affecter des iminents
professeurs occidentaux pour dispenser des enseignements dans ces écoles. De sorte que, les étudiants nationaux bénéficient des mêmes enseignements, formation, expérience, que ceux qui vont faire des études en Europe ou aux USA. Ainsi, une large majorité des populations africaines auront accès à des formation de pointe sur place dans leur pays et à moindre coût. En retour, ils pourront servir leur nation directement, sans que la question “rentrer ou pas rentrer” après les études, ne se pose. Puisqu’ils se trouvent déjà
dans leur pays.
Au lieu d’offrir des bourses d’études à une poignée d’étudiants les plus chanceux. Un système d’offre d’ailleurs à déplorer. Parce que beaucoup trop sélectif, du coup, réduisant ou anéantissant l’espoir de nombreux jeunes
souhaitant poursuivre leurs études. Au lieu de ces insuffisantes et insignifiantes bourses, pourquoi ne pas élargir le champ et permettre au grand nombre de personnes de s’instruire ? D’où l’idée , l’utilité voire
l’urgence d’ouvrir des grandes opportinutés en Afrique.
D’autre part, la santé. Là aussi le constat est négatif. Les hôpitaux en Afrique noire surtout, dans les pays dits “drôlement” PPTE (pays pauvres très endettés) la situation est misérable. Manque de spécialistes pour
toutes les pathologies, manque criard d’infrastructures médicales adéquates.
Soit le matériel est viellot et obsolète, soit il est carrément inexistant. Pour la moindre intervention chirurgicale, il faut évacuer le malade vers l’occident. On veut des hôpitaux comme chez les “blancs” avec des meilleurs
médecins spécialistes conscients de leurs missions et des vrais équipements médicaux.
En résumé, l’Afrique a besoin d’être bâtie, construit, développée. Donner de l’argent aux dirigeants africains véreux, n’est point la meilleure solution.
Nous voulons des oeuvres réelles, palpables, concrètes. Pour le bien des africains, il ne faut plus donner mais faire, réaliser, construire. Alors, à tous ceux qui se soucient du bien être, de l’avenir de ce beau continent
plein de richesses de ces hommes, aidez-nous à mieux développer l’Afrique.
Djaratou Aoudou
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